Miniatures de philippe

 LE FUSIL DE CHASSE La chasse en plaine, dans les années 50 était un élément important de la vie rurale, elle permettait de réguler la population de lapins qui causaient beaucoup de dégât dans les prairies au bord des bois et dans certaines cultures comme celle du choux fourrager, la myxomatose en 53-54 a résolu le problème. C'était aussi le divertissement voir une passion que beaucoup d'hommes pratiquaient individuellement, avec les copains ou au sein de la société de chasse communale. Avant la chasse on nettoyait le fusil et certains fabriquaient leurs  cartouches . Fusil de marque Saint Etienne à 2 coups,  juxtaposé Le chien, fidèle compagnon du chasseur, l'aidait dans sa recherche du gibier qui variait selon la saison: lapin, faisant, perdrix, lièvre, ramier, canard, bécasse et autres gibier d'eau. Peu de sangliers à cette époque. Echelle: 1/5ème Temps de fabrication: 18h par fusil La chasse en plaine est aussi un sport que chacun adaptait selon ses capacités physiq

e Voici le modèle le plus utilisé en Europe: La ruche Dadant. Echelle 1/5ème Il y a beaucoup d'autres modèles contemporains: En 1850 l'américain Langstroh crée les premières ruches à cadres vers 1880 les britanniques créent les ruches Abbot, Cheshire et Cowan. La ruche WBC en 1890 en améliore l'isolation. En 1930 la National  la rend  plus facile à déplacer d'un site à l'autre.  En 1975 la   ruche Dartington est conçue pour les amateurs. Le modèle Voirno t est plus adapté à la montagne L'élevage des abeilles est pratiqué depuis l'antiqu ité l'Egypte des pharaons a choisi l'abeille comme symbole national et a créé les premières ruches domestiques, avec enfumage pour des prélèvements partiels. Au fil du temps on a utilisé différents matériaux dont la paille, l'argile et le bois. 75% des essaims sauvages meurent de faim la première année Source Omlet.fr Une colonie compte environ 50.000 abeilles. Essaim de mai vaut un char à blé Essaim de

La Travailleuse c'est la boite à outils de la couturière Elle était présente dans beaucoup de foyers et se transmettait  génération en génération Ce modèle courant en chêne est réduit à l'échelle 1/5ème center; ">

LA VELEUSE faisait partie des accessoires indispensable à l'éleveur Selon les races concernées, les vêlages avaient besoin d'assistance, surtout avec les races à viande Quand le veau se présentait bien, on passait les cordes aux pattes avant du veau, en tournant le bourriquet on aidait la vache à  mettre bas. Les vêleuses actuelles en forme de balai sont plus légères et plus ergonomiques. .  LA VELEUSE

 LE MOINE Le moine est un accessoire qui a beaucoup servi dans les chaumières, complément des cheminées ouvertes de nos ancêtres il servait à chauffer les lits et aussi d'en évacuer l'humidité lorsque le froid s'installait dans les maisons, il a été utilisé jusque l'arrivée des cuisinières dans les années 50 où il a été remplacé par la brique réfractaire ou la bouillotte. La bassinoire (qui fera l'objet d'un autre article) fonctionnait avec le même principe, c'est à dire avec les braises tirées du foyer de la cheminée. L'origine du moine vient des abbayes où un moine était chargé de  passer le Moine dans les lits des chambres sans chauffage. Une autre version dit (et c'est peut-être la bonne) que les jeunes moines devaient se glisser dans les lits des plus anciens pour les réchauffer.  Même principe mais différent de fabrication Autre modèle, il est équipé d'une petite caisse doublée intérieurement  de tôle de fer pour éviter le contact des brai

 LA CHARRETTE DU LARZAC Très robuste de conception, ses grandes roues lui permettaient  d'affronter les sols et les chemins difficiles du plateau du Larzac On retrouve ce modèle dans différentes régions du centre de la France dont le Gâtinais avec parfois quelques variantes.   La béquille à l'avant permet de dételer plus facilement en charge, et le coffre d' y loger la corde, les outils sans oublier le casse-croûte et la bouteille. Système de freinage actionné par un levier  fixé sur un longeron, avec possibilité de blocage à l'aide de la corde. Echelle 1/10ème Le bois utilisé vient d'éléments de vieilles charpentes en chêne de l'avesnois comme la majorité des maquettes que je réalise, ce chêne à la particularité d'être doré, les arbres qui ont fourni ce bois ont commencé leur croissance au 17ème siècle. Le fer vient de récupérations diverses.

 CHARIOT DE WESTERN La conquête de l'ouest a surtout commencé après la guerre d'indépendance 1775/1783 et  l'établissement de la république des Etats Unis d'Amérique. Jusque là, les émigrés s'étaient contenus entre les côtes de l'atlantique et la chaine des Alleghanys. Repoussant les troupeaux de bisons et les indiens toujours plus au nord-ouest, les émigrés, principalement anglo-américain, s'installent progressivement sur tout le territoire. Malgré les nombreux dangers du voyage, ils emmènent leurs familles et leurs outils dans le chariot tiré par deux chevaux. Si le hasard les amènent à traverser une plaine fertile; ils s'arrêterons peut-être pour y planter leur cabane. La maquette a été faite à partir d'une autre maquette prêtée par Michel Batet (artiste de Béziers, miniatures magnifiques en différents métaux. Adresse de son blog: michebatet.blogspot.fr )   et que j'ai restaurée avant de construire la mienne .